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Édito
Christine BERGERON |
Chers adhérents, j’ai été élue Présidente par votre conseil d’administration et c’est avec beaucoup de détermination que je mesure la charge qui m’est confiée et ma responsabilité. Chaque Présidente marque la Société de son empreinte, avec sa personnalité, et cette diversité est une richesse. J’ai la chance d’avoir un bureau aussi efficace que sympathique avec des nouveaux entrants comme Julia Maruani, secrétaire générale et Geoffroy Canlorbe secrétaire scientifique... |
• Facteurs de risque de récidive des lésions intra-épithéliales du col de l’utérus
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Après traitement d’une lésion intra-épithéliale de haut grade (LIEHG), il est nécessaire de proposer une surveillance prolongée aux patientes en raison du risque de récidive de 6,6% et de l’augmentation du risque de cancer du col par rapport à la population générale (RR 2,6) même en cas de marges saines et perdurant au moins 25 ans après la conisation.... |
• Suivi post-thérapeutique : nouvelles recommandations
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Si le traitement des lésions intraépithéliales de haut grade du col de l’utérus est extrêmement efficace et permet d’éviter l’évolution vers un cancer, il faut garder à l’esprit que ces patientes ne peuvent plus être considérées comme relevant du dépistage. En effet, le risque de récidive impose la mise en place d’une surveillance spécifique adaptée et prolongée. Ce risque est globalement estimé à près de 15 %... |
• Quelle doit être la durée du suivi et comment l’adapter à l’âge de la patiente ?
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Après un traitement pour une lésion précancéreuse du col utérin que ce soit une lésion de haut grade, bas grade, ou un adénocarcinome in situ, il existe un risque de cancer post thérapeutique. Ce pourquoi, il est nécessaire d’envisager un suivi dans le temps et quel que soit l’âge de la patiente. L’augmentation du risque persiste pendant 20 à 25 ans. L’augmentation du risque persiste même en cas de traitement par hystérectomie... |
CAS CLINIQUE
Hortense BAFFET |
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