Marine JOSTE, Krystel NYANGOH, Aline ROUSSELIN, Vincent LAVOUÉ, Jean LEVÊQUE
Les femmes ménopausées ne bénéficient pas en France d'un dépistage optimal, puisque seulement 40 % d'entre elles sont suivies selon les recommandations des autorités de santé. Pourtant, elles sont susceptibles de présenter des lésions, de haut grade, mais aussi de bas grade qui justifie d'une surveillance : dans une étude ancillaire de la WHI 1, le risque d'évolution vers une CIN de Haut Grade était multiplié par 9 en comparaison des patientes n'ayant pas de lésion dépistée [1]...
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